Retour aux souvenirs.

Tokyo. J'étais enfin arrivée. Je ne sentais absolument pas la fatigue, du moins pas mentalement. J'étais tellement déterminée à comprendre ce qu'il se passait, que même avec plus de 12 heures de voyage, je n'ai fermé qu'une seule fois les yeux. J'ai énormément réfléchis sur moi même durant ce voyage. D'abord j'ai eu un doute, je me suis trouvée ridicule, comme si ce voyage n'était qu'une excuse de faible pour échapper à ma recherche d'emploi. Puis, pendant ma seule heure de sommeil, j'ai eu comme des souvenirs ou des flashs étranges : il y avait des hommes en noirs, je ne voyais pas leur visage mais ils parlaient avec mon père. Puis tout à coup le ton a haussé, le plus grand des hommes prit mon père par le cou et le serra fort contre le mur. Et puis plus rien, le black out. Je savais que ce souvenir – ou du moins cette vision – était important et qu'il avait de près ou de loin un rapport avec la disparition de mon père. A vrai dire ce n'était pas la première fois que je la voyais. Étant plus jeune, je voyais cette vision en rêve. Seulement, ma mère me disait que c'était seulement dû au fait que je mélangeais Men in Black et le fait de partir vivre loin de mon père. Avoir à nouveau fait ce rêve me prouve bien que je ne suis pas folle.

A peine arrivée à l'hôtel de Bayashima, je jeta mes affaires sur le lit et me passa de l'eau sur le visage et en à peine 5 minutes me voilà déjà dehors. J'avais dans l'idée d'aller retourner à mon ancienne maison, là où j'ai passé toute mon enfance. Après tout, commençons par le commencement n'est-ce pas ? J'étais presque arrivée lorsque je vu au loin des banderoles de police.
« Bonne ambiance, hein ? » me soufflais-je à moi même en pensant au nombre de fois ou ma mère me disait que les rues étaient plus sûre aux Japon qu'aux États-Unis. Seulement, en m'approchant, je me rendis compte que ces banderoles se trouvait sur ma maison. Je me rappelais de ce que me disais ma mère : « C'est juste qu'ils ont perdu les dossiers du décès, il a du mourir à cause de l'alcool, c'est tout. ». D'une seconde à l'autre je sentais des sueurs froide puis vint le soulagement, celui de me dire que j'avais raison. « Dur à croire que tu me fais autant d'effet, hein p'tite banderole ? » ricanais-je. J'étais maintenant devant ma maison, celle où j'étais si heureuse étant petite. En voyant le jardin de l'extérieur, il m’apparut comme des flash-back, celui d'un enfant qui riait et qui jouait avec moi « Hiro... C'est ça ! Hiro ! C'est son n- » Avant de finir ma phrase, je vis une ombre dans ma maison, je croyais rêver mais l'ombre bougeait, alors par réflexe je cria : « Qui êtes vous ?! ».

Un jour normal dans mon bar,la nuit était bien présente... Palino bu comme à son habitude... La nuit m'avait l'air calme. Soudainement, un facteur de nuit passa dans mon bar, me donnant un lettre venant d'un de mes amis de Bayashima residentiel, il me donna la lettre :

Bonjour Seikatsu, salut Palino.
Je suis assez triste de devoir vous reparler dans ces circonstances là. Mais Mr Koizumi à disparu. Tout le monde le pense mort, mais nous n'en sommes pas sûr, je sais que tu est un mercenaire et détective mais également un très bon compagnon envers Mr Koizumi. Pourrais-tu s'il te plaît aller à Bayashima résidentiel pour éventuellement aller vérifié par toi même ? Nous aurons des chances que nous croiser là bas. Mille merci si tu y vas.

Cordialement.

Les larmes me montèrent aux yeux. Palino lut en même temps que moi, il comprit donc la situation.

Sans plus tarder nous avons pris les transports présent malgrès cette nuit sombre. J'avais tout prévu pour mes affaires, une amie garda mon bar,nous n'avions aucun empêchement, ni aucune inquiétude.

Des heures passea,nous arrivions enfin à déstination. Nous avions reservé une chambre à la dernière minute. Palino n'avait pas besoin d'affaire, mais moi j'en avais,nous étions alors passé deux minutes à notre chambre, je déposea quelque affaires, manger un bout, boire un petit remontant, et nous étions repartit.

Palino semblait nerveux, moi je me retenait de verser des larmes, Mr Koizumi était un très grand ami pour moi même si nous étions plus camarade de bar qu'autre chose,chez cet homme ce révélé une gentilesse profonde et un amour envers les membres de sa famille sans faille. Enfin, ce n'était que mon avis.

Palino et moi était dans nôtre place de detéctive, nous avions pris notre matériel de "policier" pour ne pas être géner par des pions inutiles, je mis une banderole autour de la maison pour avoir une recherche plus précise et dans le calme.

J'éxamina, rien, aucune trace de sang ni de trace de lutte de combat. Etrange... Je me diriga vers la salle à manger quand une mystérieuse voix plutôt féminine retentit.

Qui êtes vous ?!!!

Une jeune adoléscente était rentrait dans la maison de Mr Koizumi. Palino était fou de rage qu'une aussi jeune personne oser faire un tel acte d'impolitesse, il avait une telle haine contre cette personne mal élevé, son gène commençea à s'éveiller, ses bras se transformèrent en griffe,mais uniquement ses bras, pas le reste étrangement, puis il prit la parole :

Qui êtes-vous ? Vous n'avez pas vu les banderoles devant la maison éspèce d'adoléscente éffronté ? C'est la maison de mon amis, j'aimerais connaitre votre raison de votre venu ici, dans quel but, êtes vous une énnemi ? Une policière ? Dans ce cas pourquoi êtes vous entrée ? Répondez sinon je vous arrache la peau avec mes griffes remplit de colère.

Je déguéna mon pistolet au cas où un quelquonque évenement ce produirait, je le visa vers cette jeune fille en lui répétant :

Ré....Répon...Répondez ! Sinon...Je vous tires une ba...ba...BALLES ! Dans la tê..tête !

Je couru dans la maison afin de voir qui pourrait bien avoir de l'intérêt pour la maison de mon père. En entrant dans le salon, je vis un homme vêtu d'un costard et … je cru rêver, quelle était cette … chose ? Il s'agissait d'une créature très étrange, elle se trouvait aux côté de l'homme et ressemblait à une... tranche de pain ? Puis, - pour en ajouter à mon délire visuel – ce qui ressembla aux bras de la créature se mis à se transformer en griffe. Pendant un bref instant, je cru que tout ceci était un rêve, mon voyage aussi, tout ceci était dans ma tête. J'étais folle. Réellement folle. Alors la créature prit la parole :

« Qui êtes-vous ? Vous n'avez pas vu les banderoles devant la maison espèce d’adolescente effronté ? C'est la maison de mon amis, j'aimerais connaître votre raison de votre venu ici, dans quel but, êtes vous une ennemi ? Une policière ? Dans ce cas pourquoi êtes vous entrée ? Répondez sinon je vous arrache la peau avec mes griffes remplit de colère. »

Je n'étais en aucun cas en tord, qui ils étaient eux d'abord ? Pourquoi étaient-t-ils chez mon père ? Seulement en réfléchissant trop longtemps à quoi répondre, l'homme sortit un pistolet et me visa. J'étais prise de panique, évidemment je ne montrais aucun signe de faiblesse comme à mon habitude, mais j'étais réellement et lamentablement paniquée comme je ne l'avais jamais été.
Et l'homme me dis :

« Ré....Répon...Répondez ! Sinon...Je vous tire une ba...ba...BALLE ! Dans la tê..tête ! »

Je ne pu m'empêcher de rigoler, intérieurement et... extérieurement : « Hmpff ... ». J'ai vraiment un problème, quelqu'un me vise avec une arme pouvant me tuer instantanément et moi je rigole. Mais il faut l'avouer, cet homme venait de perdre toute sa crédibilité, sa voix était tellement aiguë, pire que la mienne, je ne pu m'empêcher de le prendre de haut :

« Bon, il est évident que vous n'avez jamais tiré sur quelqu'un et que vous ne feriez pas de mal à une mouche, maintenant reprenons. Je vous ai posé cette question en première, j'aimerais savoir ce que vous faites dans la maison de mon père ? » Je pointa la créature du doigt et dis « Et puis, quelle est cette chose ?! »

J'étais toujours entrain de viser cette jeune fille qui malgrès la pression que nous avions essayer d'établir, elle réstait de marbre, mais un léger rire s'échappa. Une chose que je n'aime pas c'est que l'ont ce moque de moi. J'allais intéragir mais elle pointa du doight Palino en lui disant :

Bon, il est évident que vous n'avez jamais tiré sur quelqu'un et que vous ne feriez pas de mal à une mouche, maintenant reprenons. Je vous ai posé cette question en première, j'aimerais savoir ce que vous faites dans la maison de mon père ? » « Et puis, quelle est cette chose ?!

Je n'avais pas entendu ce qu'elle disa j'étais concentré sur ses mouvements, puis elle le pointa du doight. Ma réaction fû instantané, je tira une balle juste à côté de sa tête
pour ne pas l'a bléssé Palino juste après mon action me griffa mon bras et prit la parole :

PUTAIN SEIKATSU ! ESPECE D'ABRUTIT CEST LA FILLE DE MR KOIZUMI !

Je euh...Je veux...De...de quoi ? Et pourquoi tu me frappes toi ?

J'engagea une bataille terrible de bataille de gifle,il gagnea parce que je suis assez fragile du visage. Mais je fûs choqué d'avoir entendu cela, la fille de Mr Koizumi....Nous étions chez elle en plus de ça, nous l'avions braqué et menacé... Nous étions en tord. Nous avions donner nos excuses sur le champ.

PARDONNEZ-NOUS ! MILLE EXCUSE ! NOUS SOMMES ICI CAR NOTRE AMI MR KOIZUMI A DISPARUT NOUS NOUS SOMMES DEPLACER EN TANT QUE DETECTIVE ET COMPAGNON DE BAR DE MR KOIZUMI NOUS SOMMES A VOTRE DISPOSITION MADAME !

Nous étions synchronisé, c'était beau. Nous voulions à tout prix racheter notre impolitesse ! Un silence s'installa mais quelques secondes après Palino prit la parole :

Pour en revenir à votre question sur moi, je suis un humain ayant subit une expérience inconnu. Ne me mangez pas. Merci.

L'homme n'avait pas l'air de vouloir répondre à ma question, c'est à croire qu'il ne l'avait même pas entendu. Soudain retentit un bruit vif et perçant. Je ne réalisa qu'après quelques secondes qu'il m'avait tiré dessus ! Il avait réellement tenté de me tirer dessus ! Pendant l'espace d'un instant j'eus comme l'impression d'avoir déjà vécu cette scène, ce son perçant, cette crispation de mon cœur...

Je reprenais tout doucement mes esprits quand la créature griffa l'homme. Je n'avais même pas le temps de m'énerver, de me mettre dans tous mes états ou encore de crier que la créature le fit à ma place:

« PUTAIN SEIKATSU ! ESPECE D'ABRUTIT CEST LA FILLE DE MR KOIZUMI ! »

« Hein ? Comment connaissait-il le nom de père ?» Pensais-je. Après tout, il était présent dans cette maison, donc question idiote.. L'homme lui répondit :

« Je euh...Je veux...De...de quoi ? Et pourquoi tu me frappes toi ? »

Puis l'homme gifla la créature, qui en fit de même, alors s'en suivit une série de gifles. Cette scène était ridicule, certainement digne d'un bad trip. Alors, après un échec de démonstration de virilité venant de l'homme, ce dernier m'observa, il avait l'air perdu. En magnifique symphonie ils prirent tous les deux la parole :

« PARDONNEZ-NOUS ! MILLE EXCUSE ! NOUS SOMMES ICI CAR NOTRE AMI MR KOIZUMI A DISPARUT NOUS NOUS SOMMES DEPLACER EN TANT QUE DETECTIVE ET COMPAGNON DE BAR DE MR KOIZUMI NOUS SOMMES A VOTRE DISPOSITION MADAME ! »

Alors ils étaient détectives ? Dur à croire en les voyant mais quelque chose m'interpella -compagnon de bar-, alors comme ça mon père était alcoolique, il faut croire que ma mère n'avait pas tout à fait tord à son sujet. Il étaient à ma disposition n'est-ce pas ? Peut-être me seraient-ils utile pour mon enquête ? Mais je me méfiais tout de même, après tout pourquoi je devrais les croire ? En me perdant dans mes pensées je ne me rendis pas compte qu'un grand silence s’installait, j'allais prendre la parole mais la créature me coupa dans mon élan :

« Pour en revenir à votre question sur moi, je suis un humain ayant subit une expérience inconnu. Ne me mangez pas. Merci. »

Difficile à croire que de telles expériences aient fonctionné, mais après tout, cette créature se trouvait bien devant moi, à me parler avec sa voix étrangement grave d'ailleurs. J'ignorais la fin de sa phrase, l'humour n'avait absolument pas sa place dans cette conversation. Je ne m'attardais pas sur le sujet, même si c'était incroyablement étrange, j'avais d'autre choses plus importantes en tête.

Alors je demanda : « Comment je pourrais savoir si vous êtes réellement ce que vous dites ? Et puis êtes-vous réellement amis avec mon père ? Je veux des preuves. ».

En réalité, tout ce qu'il venait de se passer m'arrangeait, si ils étaient réellement sincères, ils se sentaient tous les deux coupable et je pouvais en profiter pour leur soutirer des informations.

Cette jeune fille avait répondu assez froidement. Je pus le comprendre, elle était chez elle en découvrant deux hommes don une brioche qui avait essayer de faire une tentative. En effet le peu d'humour que Palino avait n'était pas très bien réputé et fonctionnel.

Mais nous devions montrer la lettre d'un de nos amis.

Ecouter ma...madame ! Nous sommes ici pour savoir réellement si notre ami est mort ! Nous avons un lettre ici d'un de ses nombreux amis.

Je lui montra la lettre sur le champ qui détailler bien la raison de notre venu ici.

Bonjour Seikatsu, salut Palino.
Je suis assez triste de devoir vous reparler dans ces circonstances là. Mais Mr Koizumi à disparu. Tout le monde le pense mort, mais nous n'en sommes pas sûr, je sais que tu est un mercenaire et détective mais également un très bon compagnon envers Mr Koizumi. Pourrais-tu s'il te plaît aller à Bayashima résidentiel pour éventuellement aller vérifié par toi même ? Nous aurons des chances que nous croiser là bas. Mille merci si tu y vas.

Cordialement.

J'enchaîna tout de suite sur les prochaines étapes que nous avions prévu

Vous voyez ? Bon, il ne faut p...p...p...PAS trainer ici ! Nous n'avons pas de temps à pe...pet...PERDRE ! Nous vous laissons cinq minute pour vous pour vos souvenirs personnel. Nous allons devant l'entrer, faite nous signe quand vous êtes prête !

Moi et Palino étions aller dehors pour faire le point sur la fille de MR Koizumi.

J'vais fumer un cigar,tu en veux un ?

Ouais je veux bien. Ecoute,bon ta blague est pas bien passé, il faudrait évi...évi...EVITER ce genre de blague pour le moment. Un moment,je vais appeler notre ami.

J'avais mon cigar de la main gauche,et mon téléphone de la main droite,je composea les numéros et il me répondit quelque seconde après.

Oui Isaac à l'appareil,j'écoute ? Oh, Seikatsu[...]Ce rejoindre au bar dans une demie heure ? Oui je pense pouvoir le faire, si tu as des informations supplèmentaire tu me le dira au bar,je vais aller sur la route, a toute à l'heure !

Nous avions pris le rendez-vous. Nous n'avions plus qu'a attendre la jeune fille.

L'homme répondit alors à ma question :

« Ecouter ma...madame ! Nous sommes ici pour savoir réellement si notre ami est mort ! Nous avons un lettre ici d'un de ses nombreux amis. »

J'attendais une réponse claire, mais au lieu de ça, l'homme fouilla dans sa poche et me sortit une lettre qu'il me tendu :

« Bonjour Seikatsu, salut Palino.
Je suis assez triste de devoir vous reparler dans ces circonstances là. Mais Mr Koizumi a disparu. Tout le monde le pense mort, mais nous n'en sommes pas sûr, je sais que tu es un mercenaire et détective mais également un très bon compagnon envers Mr Koizumi. Pourrais-tu s'il te plaît aller à Bayashima résidentiel pour éventuellement aller vérifier par toi même ? Nous aurons des chances que nous croiser là bas. Mille merci si tu y vas.

Cordialement. »

Je ne savais pas trop quoi en penser. Donc mon père avait disparu ? Je pensais pourtant qu'ils avaient retrouver son corps. Il faut croire que les informations n'étaient pas incomplètes mais complètement erronées. Malgré cette lettre j'avais toujours des doutes à propos de ces deux étranges personnes. L'homme me scruta, l'air de savoir si j'avais finis de lire ou non et pris la parole :

« Vous voyez ? Bon, il ne faut p...p...p...PAS trainer ici ! Nous n'avons pas de temps à pe...per...PERDRE ! Nous vous laissons cinq minutes pour vous pour vos souvenirs personnels. Nous allons devant l'entrée, faites nous signe quand vous êtes prête ! »

Je les observais sortir de la maison. Ils me laissent 5 minutes pour mes souvenirs personnels ? Non mais pour qui ils se prennent eux ? C'est pas comme si j'avais laissé quoi que ce soit ici qui m'intéressait et puis si j'étais venue ici c'était pour enquêter, je resterais autant de temps que je le souhaiterais. Et qu'est-ce qu'il entendais par "prête" ? Je ne leur ai jamais demandé de m'attendre ou quoi que ce soit d'autre.

Par curiosité, je monta à l'étage afin de voir ce qu'était devenue mon ancienne chambre. J'ouvris la porte et à ma grande surprise, la chambre est restée telle qu'elle était, avec mes anciennes peluches, mon violon pour enfant et le tout accompagné de son magnifique amas de poussière. J'observai par la fenêtre et je les vis à discuter, la créature donna un cigare à l'homme et ce dernière appela quelqu'un avec son portable. «Mais pourquoi restent-ils ici bordel ? ».

Je me rappelais qu'autrefois mon père prenait beaucoup de photos et que je gardais un album sous mon lit. Sans surprise, il y était encore. Je parcourais l'album quand je vis le fameux petit garçon. C'était bien lui ! Celui de mes souvenirs ! Je n'en revenais pas, comment pouvais-je encore m'en souvenir ? La photo nous montrait en train de jouer dans mon jardin, on avait pour habitude de rester des heures à jouer à la bagarre . Derrière la photo était inscrit « Cristal (4 ans) et Hiro (5 ans) - 1995 » J'étais si heureuse à cette époque... Sans hésiter, je pris la photo et la mis dans mon sac.

J'observai encore une fois par la fenêtre, ils étaient encore là. J'ai beaucoup hésité à m'enfuir par l'arrière de la maison. Après plusieurs fouilles dans la maison, je ne trouvais rien de « suspect » ou « d'anormal », mis à part le fait qu'apparemment mon père n'a eu aucun femme depuis maman et que sa seule compagnie féminine était la bouteille. Étant donné que la fouille ne m'avait mené à rien, je n'avais plus de piste, alors j'avais le choix. Soit je rejoignais ces « enquêteurs » à mes risques et péril mais en ayant peut être la chance de comprendre ce qui se passait. Soit, je m’arrêtais là, je rentrerais à la maison, je me ferais incendier par ma mère et je regretterais toute ma vie de ne pas avoir suivis mon instinct. Pour être sincère, je n'ai pas eu beaucoup à réfléchir, je descendis les escaliers et je sortis par la porte de devant.

« Bon quel est le plan ? Pourquoi avez-vous besoin de moi ? Et tant qu'à faire, quels sont vos noms ? »

J'avoue avoir manqué de tact, je ne suis pas très douée pour le social, mais pourquoi perdre du temps à être poli ?

La jeune fille était devant nous,et nous a directement posé une question,assez froidement mais elles avait raison.

"Bon quel est le plan ? Pourquoi avez-vous besoin de moi ? Et tant qu'à faire, quels sont vos noms ?"

Palino prit la parole avant moi, il m'avait l'air plus triste que d'habitude,mais toujours en gardant une expression sévère et froide.

Mh, jeune fille, je vais être franc, car vous le méritez, mais je vais répondre une à la fois.

Quel est donc le plan ? C'est simple, l'auteur de la lettre que l'on vous a montré était un ami à votre père également,mais un ami comme nous, compagnon de bar, nous devons le rejoindre dans le bar ou nous avons rencontré votre père, nous avons également appelé un taxi, il arrivera dans une vingtaine de minute environs,parfait pour que nous puissions vous éclairez, donc pour l'instant juste d'aller dans ce bar et d'avoir plus d'information concernant votre père,sachez que nous ne sommes pas payé, nous sommes ici en tant qu'ami.

Nous voulons vraiment que vous veniez avec nous, vous êtes une personne très précieuse pour nous, vous êtes la fille de Mr Koizumi,et il 'ma dit beaucoup de bien de vous. Il n'arrêtait pas de parler de vous,nous voulons à tout prix le retrouver avec vous ! Oui j'affirme que nous devons le RETROUVER, votre père malgrès les apparences avez quelques problèmes,et pas avec des tendres. Nous sommes sûr qu'il a été enlevé !

Et pour nos noms, c'est assez complexes,nous sommes détectives nous ne pouvons pas donnez notre identité a tout le monde. Nos vrai prénoms sont : Seikatsu,l'homme à la voix aigû est excellent tireur, c'est une capacité que vous devriez retenir chez lui. Et moi, Palino, la brioche, je possède une capacité spécial,qui est de me transformé en monstre de taille moyenne.

Palino était extrêmement ouvert en face de la jeune fille, c'est sûrement l'une des seules personnes à en savoir autant.
Je ne savais pas si c'était prudent de faire ça.
M'enfin,elle savait tout de nous dorènavant. Palino fit par dire une dernière phrase

Avez-vous d'autres question ?

Nous avions encore le temps,le taxi allez venir dans encore une dizaine de minutes.